en France (et dans huit autres pays), deux mois après les Etats-Unis, de son nouveau gadget, sa tablette numérique iPad.
Comme à chaque rendez-vous de la marque à la pomme, l’une des rares capable de susciter de tels engouements, les choses ont été réglées au millimètre. L’Apple Store du Carrousel du Louvre, à Paris, et celui de Montpellier ont
pour certains seulement la veille et en quantités limitées, ont aussi
avancé leurs horaires.
7h30 du matin, auLouvre. Près de300personnes font la queue. Ce n’est rien, en comparaison avec les files d’attente observées vendredi matin à Tokyo et Sydney, par exemple. Loïs, le premier dans la file, a déjà uniPad sous le bras:
Aux Etats-Unis, on ne pouvait acheter que la versionwifi». Le sixième dans la file, 51 ans, est venu «pour l’ambiance, pour communier avec d’autres» et aussi, évidemment, pour s’offrir l’engin.
«Je ne suis pas fan, mais passionnée par l’information.»
Fête des mères 8heures précises. Les portes ouvrent, les premiers clients entrent, canalisés par le service d’ordre, sous les applaudissements des vendeurs. Très vite, les premiers ressortent, leurs paquets bien serrés sous le bras.
Mac jusqu’à présent, mais la simplicité du produitm’a séduit.» 8h50. Quelques centaines de mètres plus loin, quartier de l’Opéra, devant chez Surcouf, une dizaine de personnes seulement attendent l'ouverture, à 9 heures.
«Nous sommes venus pour notre président, qui en veutuntout de suite», précisent deux salariés d’une compagnie d’assurances.
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